Invité
 |  Sujet: i wanna do inappropriate things with you || no good michael ♛ Sam 12 Avr - 15:03 | |
| NOM : peres
PRÉNOM(S) : michael
SURNOM(S) : -
ÂGE : vingt&un
ORIGINE : arabe | mexicano
ORIENTATION : hétéro
ANNÉE : -
CLASSE : -
OPTION : personnels | surveillant
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❝im kinda psycho❞ présomptueux ▬ il l'est et ne s'en cache pas, au contraire même, il connaît très bien de quels avantages il bénéficie et n'hésitera pas à exploiter ces derniers sur votre petite personne ou tout simplement pour parvenir à ses fins ; cela en fait alors une personne qui se surestime, combien de fois il vous conseillera d'abandonner un combat ou de ne pas lui tenir tête ; parce-qu'il est avantagé. & quoi que vous fassiez, c'est la vérité, vous ne pouvez qu'accepter. c'est donc de là que provient cette haute estime de soit qu'il nourrit pour son reflet, pas qu'il se trouve beau, même si faut avouer qu'il est vraiment pas dégueulasse à voir, il est donc néanmoins quelque peu modeste côté physique, même s'il a conscience du charme rebelle qu'il impose et qui fait souvent craquer les demoiselles, ou même les mecs. salaud ▬ ça lui prend parfois, même si en général il est plutôt qualifié de rivière calme sans la moindre vague, si on le cherche trop, comme toute personne il finit par craquer, et dans ces circonstances là, vous repartirez la gueule en sang et dépouillé de vos clopes si vous fumez ; sauf qu'en général il n'est pas tellement la personne à qui on vient chercher des poux, vu son statut aussi, c'est pas qu'un simple délinquant, c'est plus, beaucoup plus. Michael c'est un chef de gang, il est tout au sommet, c'est le plus fort, lui qui décide. il n'hésitera pas non plus à faire des crasses aux personnalités qu'il haït puisque ce n'est pas le genre de mec à détester d'un claquement de doigt, non, la cible en question devra être redoutable, piteuse, oui ; pour en arriver là elle devra lui faire quelque chose d'horrible, d'insupportable mentalement pour être retranscrit physiquement, par les poings, par le sang. jaloux ▬ de façon général, ça lui arrive. certaines choses que les autres possèdent et que lui n'a pas, qu'il désirerait. Mais les revenus de sa famille sont plutôt médiocres, alors il cumule les petits boulots pour pouvoir payer ses études plus tard, pour profiter un peu de la vie et se faire plaisir sans trop dépenser. sinon, ça lui est déjà arrivé d'être jaloux auprès d'une fille dont il s'est amouraché, et faut dire que c'était pas vraiment beau à voir, il devient distant, et la fait souffrir volontairement, mais c'est comme ça, c'est dans sa nature, il ne peut y remédié apparemment. faut-il aussi préciser qu'il peut le devenir facilement, pour deux-trois broutilles, et vouloir passer ses nerfs sur la cause de cette maladie détruisant le plus souvent les couples, les cœurs. possessif ▬ c'est aussi maladif chez lui, ce qui est à lui, est à lui, et on ne touche pas à ses affaires, ou en tout cas pas sans sa permission. Michael c'est le genre à mettre sous barreaux les personnes auxquelles ils se sent réellement attaché, que ça soit amour ou amitié. mais surtout amour, parce-que mine de rien, et même si vous trouvez ça surprenant, c'est quelqu'un qui tente de se poser, de trouver la bonne personne, celle ou celui qui l'accepte tel qu'il est, avec ses putains de défauts comme avec ses minces qualités perdurant dans la noirceur de son esprit. sardonique ▬ on peut en relever lors d’envois de piques, un humour railleur, sombre, et pourtant à la fois classieux. Michael sait manier le vocabulaire avec fieffée, parce-que c'est pas un idiot vous savez. rebelle et mauvaise fréquentation peut-être, mais quand même. à la tête d'un clan aussi développé que le sien, il faut un minimum de cervelle, ce qui fait alors que ses notes sont parfois au-dessus du reste. mais cela l'entraîne aussi à se croire tout permis, ou du moins au niveau des poses qu'il adopte au travail : pieds croisés sur la table, assis en tailleur ou encore petit dej tranquille après qu'il ait fini ou non son travail. bref, c'est un cas, il rend heureux et à la fois désespéré les professeurs, les élèves, l'administration, ces collègues. obstiné ▬ il est fort difficile de faire changer d'avis ce jeune homme, lorsqu'il a une idée dans la tête il ne la lâche plus, pas tant qu'elle n'est pas commise du moins. Michael a sa propre vision sur le monde, sur les choses, ses propres jugements et il ne s'abaissera pas à celui d'autrui. chacun fait ce qu'il veut, pense comme il veut, c'est ce qu'il vous dira, suivit d'un : « si ta position t'offre la possibilité de ne t'abaisser à personne, évidemment.». c'était plus que logique, c'est ainsi que lui même s'agenouille devant les plus grands et prône la première place devant les inférieurs. mais tout ça, ce n'est qu'une stupide question de temps, parce-que bientôt, ceux devant qui il s'est abaissé précédemment, seront ceux qui lui lécheront les pieds dans le futur, c'est ainsi qu'il songe, « la roue tourne. » violent ▬ lorsque qu'il est profondément irrité cela peut être les pires coups qui s'abattent, mais ceci n'arrive que rarement au lieu de travail, en général c'est lors d'une guerre entre clan ou quand on le cherche et que sa patience atteint ses limites, qu'il ne peut plus tolérer ; et dans ce cas, il attendra que vous soyez assez loin de l'école et dans un coin plus que tranquille pour vous latter la tronche. tout seul. il n'a besoin de personne pour accomplir ceci, ce n'est pas une lavette, il a de la force dans les bras, et son physique en dit d'ailleurs assez long sur la force qu'il peut posséder. ténébreux ▬ le jeune homme n'expose pas vraiment ses problèmes aux autres, parce-qu'il a du mal a en parler, parce-que ses blessures ne cicatrisent pas, parce-qu'il a perdu ce qui faisait de sa vie un pur bonheur. il ne le voulait pas, mais c'est arrivé, il a disparu pendant un certain temps, l'abandonnant dans le plâtre, et même si ses blessures n'était que physique, elle lui pardonnait tout ; mais lui, ne pouvait pas, il s'en voulait et s'en veut encore à ce jour. les gangs le savent, adversaires ou non, le monde connaît cette histoire. Mais il semblerait que plus personne ne l'aborde, ça le fait fuir, oui, Michael s'en ira si vous en parlez. il a mal, il souffre de l'absence de sa fleur auprès de lui, et se blâme de n'avoir pas su la protéger, c'était son trésor, mais un jour, il la recroisera, et là, tout ça changera. « Se laisser porter là ou le vent nous emporte », une devise qui lui tient à cœur et qui explique parfaitement son cas. petit plus ▬ il aime les femmes brunes, aux gros culs et gros seins, les joints, l'or, l'argent, les stripteaseuses, rapper. | ❝need more black clothes❞ bien qu'il fasse mouiller beaucoup de femelles, Michael a un look bien à lui : tatoué de dessin loufoque, montre & gourmette en or, s'habillant généralement en noir, blanc et gris, c'est un gars soin, comme on dit dans le ghetto. il n'aime et porte que des choses de marque ─ Trapstar, Lacoste, Versace, etc. tu connais les bails ─ y compris les chaussettes, et caleçon, de là tu peux voir que c'est un malade. il possède aussi deux piercings qui sont localisés sur son oreille gauche. il est typé Arabe, mais vraiment quoi, en gros quand tu vois sa gueule, tu sais directement que c'est un rebeu. il mesure plus d’un mètre quatre-vingt-sept pour un poids de soixante-douze kilos, il a sculpté son corps grâce à la boxe. y a ces yeux qui sont chelou aussi, ils sont d'une couleur jaune-brun, allant plus vers le brun mais quand même, c'est pas commun. il a la peau matte et puis voilà. au pire regarde l'avatar, non ? & aussi, j'ai ajouté une petite tof pour les tatouages, histoire que tu les visualises bien.[/center] | the history of this bastard cette histoire vous sera racontée d'une façon non habituelle, épargnons-nous la naissance et l'enfance inintéressante qui ne fera que rajouter des lignes supplémentaires au Conte. écoutez bien, ceci ne contient aucune magie, aucune princesse, mais un amour de rebelle. dans la violence, dans le sang ; et surtout, dans la destruction. ce que je vais à présent vous conter, fait partit des méfaits de la vie actuelle, qui plonge notre Monde dans la noirceur, dans la guerre. ce qui rend l'être humain piteux, ce qui le rend loufoque. pensez-vous que seuls les criminels ou encore ceux qui aperçoivent des choses que nous, ne voyons pas, sont fous ? parlons philosophie mes amis ; qu'est-ce la folie à l'état pure ? je vous répondrais que c'est tout, tout est éprit par la folie. vous, moi, l'homme, la vie, le monde, tout. ne soyez guère superficiels, si je suis fou, vous l'êtes tout autant que moi. vous jugez à l'apparence, votre façon de penser est malsaine, négative ; vous ne cherchez pas à comprendre ce qu'il y'a derrière la folie d'un homme. mettez-vous à leur place, ils sont rejetés par la société ; et si vous étiez unes de ces victimes ? c'est de la faute de l'homme, il est démoniaque, sadique. au lieu de vouloir faire bien vous les enfoncez, parce-que vous n'êtes que des merdes utilisant seulement 0,000001 % de leur cerveau. depuis lors j'ai connu ça, les préjugés, les railleries, la différence, et lorsque je tentais de m'exprimer on me demander de me la fermer. Monde de merde. tu ne peux pas vivre ta vie en étant seulement bienveillant, alors tu commences à changer, à te rebeller, à solidifier ton caractère, oui, tu deviens un homme, un vrai. un pur et dur. avec un mental d'acier. tu frappes, t'es trop violent et on prend peur de toi. même que les plus cons diront que t'as un problème psychologique. foutaises. fallait que vous naissiez muet, vous auriez eu l'air moins cons. vous n'y connaissez rien. réfléchissez, comprenez. ☠ « DATE : 01/04/2008. NOM : PERES. PRENOM : MICHAEL. NE(E) LE : 05/04/1992. ÂGE : 16ANS. LIEU : X. TAILLE : 187CM. » il était mineur, et depuis peu il avait intégré un gang ; vous savez, ces gamins de rues qui combattent en street et se bouffe la gueule pour les territoires et la survie des leurs. c'était le seul moyen qu'il trouva pour expier toute sa rage.Michael, venant d'une famille pauvre et souvent la source des moqueries à l'école. bande de gamins cruels, sans scrupules, et sans cœur. vous rendez vous compte du mal commit ? non. C'est vrai. vous êtes surprotégés et pourris gâté, chez vous y'a la télé et les ordinateurs. les gens sont tellement stupides. bruits de talons claquant contre le béton, une silhouette svelte se fit apparaître à la porte, noircit par le contre-jour et aussi par la sombre luminosité de la pièce. puis, clac. l'ampoule s'abandonne à la braise et la salle s'éclaire correctement. il était là, assit à une table entourée seulement de deux chaises dans ce petit espace, un interrogatoire, à la gendarmerie en effet. c'était commun de nos jours, des voitures brûlées, une bagarre et des habitations étrangères dégradées ; la nuit dernière, un réglage de comptes et Michael se fit prendre sur le fait, ce fut pourquoi sa présence se retrouvait offrande à ce jour. lorsqu'on posa les yeux sur lui par ailleurs, on pouvait de suite remarquer son inexpressivité appuyée par un implacable calme ; il se contenta d'avouer sans un seuls mensonges, parce-qu'il a du cran, parce-que ce n'est pas le genre à fuir ses responsabilités, mais aussi parce-qu'il fait sûrement partit de ceux ayant utiliser le plus possibles leurs poings, alors voilà, t'as fais des conneries, alors tu les assumes ; montre de quoi t'es capable, que tu te laisses plus marcher sur les pieds, ouais voilà, montre que t'es un homme, un vrai, un dur. suivant ce geste courageux, il fut gradé haut dans le gang, mais son casier judiciaire ne fut plus tout vierge et propre. ☠ « - voilà. ce fut le déclenchement d'une nouvelle vie, qui laissa paraître devant moi un nouveau chemin, que j'entrepris volontiers d'ailleurs. mes parents n'en pouvaient plus, combien de fois les flics sont venus à la maison dans le temps. mais je m'en foutais, parce-qu'une fois la majorité atteinte je me suis mis à travailler comme un acharné pour payer tous les pots cassés qu'ils durent réparés à ma place, j'économisais aussi entre temps, et une fois les vingt et un années atteintes, j'me suis barrais au Japon. faut dire que là-bas, j'allais trouver mon bonheur, j'intégra une académie du nom de Saotome en tant que surveillant, et me voilà aujourd'hui. en un an je suis devenu Chef d'un groupe de grosses frappes, et j'essaie de gagner un peu plus en maturité chaque jours, parce-que voilà, tu comprends, si le Chef est un vrai con, c'est droit dans le mur. tu m'suis ? - on va dire ça ; et sinon, on en parlait précédemment, ton cœur est prit hein ? » un regard blasé, et un soupire. puis de l'une de ses poches il sortit un paquet de joints, ses doigts de musiciens fins et allongés vinrent en saisir une puis la cala entre ses lèvres ; la flamme du zippo recouvert d'un or faux et rouillé par le temps, fit son travail et l'alluma. il tira un coup avant de s'affaler un peu plus sur la chaise. « - mec, t'es déjà tombé dingue d'une fille au point de pouvoir mourir pour elle ? mais genre réellement hein, épargne moi ton pipeau. - j'ai une femme et deux enfants. haha, ha ouais. je vais te dire ; elle était belle, c'était la plus belles de toutes les colombes que j'ai pu admirer à ce jour. mais t'sais qu'une colombe comme elle, ça mord fort ? quoi ? c'est quoi c'te tête ? tu piges pas là ; ha ouais. bon en fait, j'étais sortit avec une de ses meilleures amies, et puis j'étais un peu con dans le temps et j'étais avec elle que par intérêt, elle était pas mal la nuit si tu vois où j'veux en venir. j'me suis lassé et je l'ai quitté. » il esquissa un sourire en se redressant, fumant de façon nonchalante avant de reprendre, d'un air amusé. « elle m'aimait pas, elle me regardait mal, et un jour je lui ai fais : « t'as quoi contre moi toi ? » et là, elle me colla un pain. mais c'était pas un coup de petite lavette hein ; sérieux j'ai souffert pendant trois jours. C'était la première fois, je me suis pas mal retenu de lui gueuler dessus, parce-que mon gars, frapper les femmes c'est pas bien. mais j'ai rien fais. c'était comme dans un film, genre retournement de situation, j'sais pas pourquoi, une fille elle m'avait jamais autant tenu tête au point de m'en coller une. alors voilà, elle était spéciale, et j'étais attiré. j'me suis fais pardonner de toutes les façons qu'on puisse tenter de recevoir le pardon ; et on a sympathisé. & là j'suis tombé raide dingue t'as vu. on était heureux. jusqu'à qu'une grosse embrouille arrive avec un gang adverse. mon téléphone sonna, c'était pas elle mais c'était un homme. pas n'importe lequel ; cet enfoiré de Takano. il voulait un deal ; c'était elle ou mon poste de Chef. j'ai foiré comme jamais. j'ai réagis impulsivement, j'ai raccroché et je me suis taillé vers chez eux, mais c'était trop tard mon gars. elle était là, par terre, agonisant dans les pires des souffrances, trop faible pour leur tenir tête. j'm'y attendais pas. je suis lâche, j'ai fuis. ouais. à l'hôpital, elle m'avait dit que c'était pas grave, que quoiqu'il arrive elle m'aimerait toujours. mais j'arrivais plus à la regarder en face, j'étais pitoyable, j'me suis tiré, et depuis un an je l'a revois plus. à ce qui paraît elle est première de son école. elle me manque, mec. l'amour c'est con tu vois, l'amour ça fait souffrir, et la vie surtout. on m'a souvent traité de connard pour ne pas avoir laisser tomber mon groupe pour elle, c'est pas faux. j'me suis souvent dit que voilà ; ma position me permet plus d'être avec quelqu'un. » & sur ces mots, il écrasa son joint à moitié consumée contre la table et quitta la pièce, telle une ombre défilant sur les murs, avec discrétion. | PSEUDO : Mirna ☹
ÂGE : -
PERSONNAGE SUR L'AVATAR : Trafalgar Law sans barbichette - 1 piece
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Dernière édition par Michael Peres le Mer 16 Avr - 11:44, édité 42 fois |
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