Help me.. [ft Émeric Wayne]

C'était la première fois depuis quelque temps que Miyabi décide de sortir de l'établissement. En effet, celle-ci ne se sent pas trop à l'aise en dehors et à une grande peur envers l'inconnu. C'est donc dans un tenu assez simple que la jeune fille décida de partir en vadrouille. Il était dans les coup des sept heure, le soleil se couchait doucement sur la ville et avec ses petites jambes, elle se baladait tranquillement dans la ville.

Elle avança dans les rue puis continue à marcher jusqu' à un petit parc qui faisait fasse à un grand cerisier. A côté, une fleuve était la à ruiseller laissant les bruits de la ville êre absorbé par celui-ci.
Le calme reignait et c'est avec un grand sourire qu'elle s'avança vers ce petit parc.

Une fois arriver dedans, elle se décida de s'assoir sur un banc. Son petit sac la main et son violon sur l'épaule gauche, elle souffla un bon coup d'être enfin tranquille et en particulier hors de l'établissement.
Elle posa son violon près d'elle, le sortis et commença à en jouer. Une douce mélodie en sortis, laissant la nature s'appaiser avec elle. Elle jouait une morceau doux et assez mélancolique.

Aucune personne n'aurait pu venir la déranger, même les dernier passant ne vinrent l'interrompre. Le soleil lui, commençait à disparaître petit à petit dans de belles couleurs passant d'un orange à un rose. La mélodie ne pouvait être plus belle.

Cependant, un bruit sourd fit s'arrêter la jeune blonde. Un groupe de garçon approcha d'elle. Ils étaient brutes et essayait de la faire venir avec eux en lui disant pleins de compliments.Ils essayèrent de lui demander de venir s'amuser avec eux.  Cependant, elle refusa dans un premier temps assez poliment.

« Je vous prie de me lâcher. Je dois rentrer chez moi je n'ai pas le temps de m'amuser avec vous. »

Sa demande ne fut bien sûr pas écouter et un premier vînt lui prendre le bras. Elle réussit à le repousser et à aller ranger son violon pour ne pas l'abîmer. Malgré cela, un autre vînt l'attraper et la tirer vers lui. Pour se défendre, elle laissa partir un grande claque, avec sa petite main fragile et douce, dans le visage de celui.
Celui-ci la poussa au sol. Il était plein de haine et n'avait pas supporter l'attitude de « Lady » de le jeune demoiselle. Par la suite, Il la regarda au sol et commença à lever la main pour la gifler à son tour...

Tout était arrivé si vite, que la jeune blonde ne savait plus que faire. Ses beaux yeux bleu  étaient grands ouverts, brillants, impressionnés face à ce jeune homme. Elle avait ses petites pommettes qui étaient devenu d’un rose assez clair et mignon. Elle tenait contre elle ce qu’il lui avait confié avant de faire fuir la bande lâche qui l’avait agressé. Elle ne le lâchait pas du regard. Peut-être était-elle en état de choc ou sûrement en admiration face à son sauveur.

« Ou tu habites ? Je te raccompagne. »

Il lui parlait mais elle n’écoutait pas vraiment. Cela ne lui arrivait pas souvent, elle aimait écouter les gens mais là c’était différent, elle entendait sans entendre réellement. Elle l’observait serrant sans s’en rendre compte le sachet de celui-ci. C’est d’un hochement de tête qu’elle répondit. Puis avant de donner le nom de l’établissement elle remarqua d’un coup la blessure de celui-ci.

« Vous… Vous êtes blessé ! Je suis désolée, tout cela est de ma faute… Si seulement je n’étais pas sortis… »

Elle avait les larmes aux yeux de voir cela. Sa voix tremblait, ses mains aussi. Elle se rendit compte après avoir versée quelques larmes qu’elle tenait toujours le paquet de celui-ci. Elle n’avait même pas fait attention de le prendre réellement. Elle lui tendit un s’inclinant un peu comme pour le saluer, attendant que celui-ci veuille bien le reprendre.

« Voici, désolée je n’avais pas fait attention. Reprenez-le. Pardonnez-moi encore une fois, sans vous je serais… »

Elle ne savait même pas ce qu’elle serait, sûrement en pleure. Elle releva la tête essayant de reprendre sa classe habituelle, essuyant ses larmes. Elle mit son violon sur le dos et d’un léger sourire continua :

« Je viens de l’académie Saotome. J’aurais pu rentrer seule mais… J’accepte votre compagnie, merci. Je vous soignerais à mon logement, j’ai de quoi ne vous inquiétez pas. Dépêchons nous !»

Elle s’exprimer encore comme une bourgeoise, sûrement son éducation française qui jouait beaucoup. Mais cela allait être contrasté par son physique de jeune demoiselle innocente et si pure. Elle avait l’air si fragile et si triste de voir celui-ci blessé, elle se sentait terriblement coupable de cela