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 Utaemon L. Nakamura ou celui qui vous rendra célèbre

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MessageSujet: Utaemon L. Nakamura ou celui qui vous rendra célèbre   Utaemon L. Nakamura ou celui qui vous rendra célèbre EmptyMar 13 Déc - 21:49

Utaemon L. Nakamura
NOM : Nakamura 中村
PRÉNOM(S) : Utaemon 歌右衛門
SURNOM(S) : Kanon Suichû
ÂGE : 34 ans
ORIGINE : Japonais pure souche
ORIENTATION : Homosexuel mais je ne ferais pas la fine bouche si une demoiselle s'invite dans mon lit.

GROUPE : Citoyen
EMPLOI : Producteur

TAILLE : 1m77
CORPULENCE : Même si on n’est pas sur le devant de la scène, entretenir son corps est important. Je tiens particulièrement à garder une silhouette musclée, même si celle-ci reste généralement cachée par mes vêtements, si bien qu’on peut s’étonner facilement de ma musculature lorsqu’on a la possibilité de l’apercevoir.
CHEVEUX : Longs et blonds, j’apprécie d’attacher mes cheveux en haute queue-de-cheval avec un foulard, de façon à ce qu’une partie de ma tignasse continue d’encadrer mon visage en tombant sur mes épaules.
YEUX : Souvent doux mais pouvant changer rapidement pour un regard dur, mes yeux ont une couleur proche de celle du chocolat fondu avec peut-être un soupçon de doré.
DIVERS : Sur ma joue rouge, on peut voir un tatouage rouge qui ne représente rien de particulier, un symbole que j’avais trouvé joli dans les modèles du tatoueur. Si l’on observe bien, on peut remarquer que ce tatouage couvre une ancienne cicatrice importante.

Je possède un anneau à ma lèvre inférieure et un autre au lobe de l’oreille droite, les deux étant reliés par une chaîne en argent.

En ce qui concerne les vêtements, j’ai pris pour habitude de porter des vêtements traditionnels japonais autant dans ma vie personnelle que professionnelle. Cependant, lorsque j’ai des rendez-vous importants, je m’habille de façon plus distinguée, à l’occidental. Mes couleurs de prédilection sont le rose et le blanc, même si je m’autorise également à porter des couleurs plus foncées pour aller avec ainsi qu’une douce écharpe.
RANG PERSONNALISÉ : Tu seras ma prochaine star
Psychologie

Je ne suis pas quelqu’un de fréquentable, moi-même je m’en rends compte. Je suis la jalousie incarnée et c’est elle qui me fait avancer dans la vie. Le talent et le succès des idoles m’est insupportable et je n’ai de cesse de leur vouloir du mal. Mon but est de leur donner de l’espoir, l’espoir d’avoir du succès, de faire une grande carrière, de devenir célèbre ! Mais alors qu’ils arrivent tout proche de leur rêve, je leur vole tout ça, je leur fais toucher le fond en prenant bien garde à ce qu’ils pensent que c’est leur faute et surtout pas la mienne. Quand leur moral est bas, je n’hésite pas à proposer de la drogue à mes protégés, non sans les avoir préalablement rendu alcooliques. Oui, je suis un vil serpent mais si je ne l’avoue jamais, je le sais pertinemment et je m’en délecte. J’ai une forte attirance pour les hommes, surtout jeunes, n’hésitant pas à les prendre mineurs pour assouvir mes horribles envies. Cependant, quoi que je fasse, je ne peux pas tomber amoureux. Je n’en suis pas capable. Je crois surtout que je ne le veux pas.

Mais au fond, il parait, je ne suis pas quelqu’un de méchant. Au contraire, il paraîtrait que je suis gentil. Je veux bien le croire, car après tout, je m’inquiète pour mes protégés tant qu’ils sont sous contrat avec moi. Tout le mal que je peux leur faire, je le fais en toute conscience de ce que je leur fais, des limites à ne pas dépasser, apprenant ce qu’il faut faire pour qu’ils aillent mieux si je souhaite que ça arrive. Mais ça ne veut pas dire que je les aime, d’une façon ou d’une autre. Je ne suis qu’un monstre incapable d’aimer, n’est-ce pas ? Alors même si je le dis, ce n’est qu’un mensonge, parce que oui, je suis aussi un menteur.

Pour parler de choses différentes, je vais vous donner des indices pour me faire plaisir, ou un contraire, pour me faire peur. Enfin, peur, vous n’y parviendrait pas. Je ne ressens pas la peur, je ne l’ai jamais ressentie. Ce qui a pu se rapprocher le plus de cela, c’est ma peur des papillons, même si « dégoût » serait un terme plus approprié. Pour ce que j’apprécie, en dehors des jeunes hommes, c’est principalement que l’on me demande de pousser la chansonnette. J’aime chanter, énormément, même si je ne le pratique plus vraiment. Niveau nourriture, j’aime ce qui est salé, j’aime surtout manger des chips. J’aurais toujours un faible pour ça et j’en viderais un paquet sans même m’en rendre compte ! Alors évitez de m’en donner, d’accord ? Je tiens à ma ligne, quand même.
Histoire

Qui je suis ? D’où je viens ? Comment je suis arrivé là ? C’était menottes aux poignets que j’ai dû répondre à ces questions. Dans une salle d’interrogatoire, je racontais aux inspecteurs mon histoire, dans mon anglais qui devait sonner trop japonais pour qu’ils puissent comprendre sans avoir à me demander de répéter de temps à autres.

Je suis né au Japon, d’une famille qui, pour autant que je le sache, ne comptais que des japonais de pure souche. Notre nom de famille n’est pas des moins prestigieux. Même si Nakamura est un nom japonais courant, le nôtre a une consonance particulière puisqu’il appartient à un grand nom du théâtre kabuki, Nakamura Matagorô, deuxième du nom.

Mes parents étaient, bien entendu, de grands adeptes du théâtre kabuki et avide de faire perpétuer cette tradition dans la famille. Ils m’ont nommé Utaemon pour que ça me porte chance dans cet art, « Nakamura Utaemon » étant le nom de scène d’acteurs très connus. Ils espéraient qu’un jour je puisse prendre la succession du dernier Nakamura Utaemon en date.

Il est inutile de dire que dès ma plus tendre enfance j’ai été obligé de prendre des cours dans cet art typiquement japonais. Les grands espoirs de mes parents me poussaient constamment à travailler, à donner le meilleur de moi-même. On me disait doué, mais au fur et à mesure que je travaillais mon art, j’appréciais de moins en moins celui-ci et j’ai fini par haïr tant le kabuki que mes parents qui ne juraient que par ça.
Puis ma vie a basculée.

Je m’en souviens comme si c’était hier. À l’école nous apprenions des chansons populaires et j’appréciais les chanter, les chantant à peu près dès que j’en avais l’occasion. Et c’est en rentrant de ma journée d’école que je fus abordé par un adulte. Mes parents m’avaient souvent dit de ne pas répondre à des adultes inconnus mais comme tous les enfants, je n’ai pas écouté les conseils de mes parents. L’adulte en question me disait beaucoup aimer ma voix, il voulait faire de moi un artiste, une star. Alors il m’a donné sa carte pour que je la montre à mes parents et que ceux-ci me contact, ce que j’ai fait, je leur ai donné la carte de visite. Mais eux, ça ne leur plaisait pas, ils n’ont même pas voulu m’écouter. Pour eux, je devais devenir un acteur kabuki et rien d’autre.

Nous nous sommes disputés. Une grosse dispute. Au final j’ai été envoyé dans ma chambre sans que j’ai pu faire entendre mon avis sur la question. Après avoir fulminé quelques heures dans mon coin, j’ai fait un choix et j’ai rassemblé mes affaires et je me suis enfuit, j’ai fugué. Âgé de onze ans, je suis aller frapper à la porte à l’adresse qui figurait sur la carte que j’avais reçu. J’expliquais au producteur ma situation et sans tergiverser il me prit sous son aile, sans l’accord de mes parents. Pour éviter tout problème, mon identité changea. Je devins méconnaissable, prenant une nouvelle coupe de cheveux, une nouvelle couleur, devenant blond, et je pris un nom de scène, Kanon Suichû.

Officiellement, Utaemon Nakamura, 11 ans, était porté disparu. Mes parents pleuraient devant les caméras de télévision, suppliant pour qu’on me ramène à leur côté. De mon côté, bien au chaud devant le poste de télévision de mon producteur, je regardais leurs interventions sans la moindre émotion. Ils n’avaient pas voulu m’écouter, me laisser faire ce que je voulais, alors je n’avais plus rien à faire avec eux et qu’ils soient mes parents n’y changeait rien. Avec mon producteur, j’étais heureux et je commençais ma carrière. Kanon Suichû était officiellement un enfant des rues, recueilli par un professionnel de la musique.

J’avais une totale confiance en mon producteur. Il était devenu mon mentor, ma seule famille, mon père, même s’il refusait que je l’appelle ainsi. Non seulement il gérait ma carrière, mais il gérait ma vie, dépensait son argent pour mes vêtements, pour mon affaires, pour l’école que je n’avais pas manqué de changer depuis ma fugue. Ses paroles étaient mon salut et je n’aspirais qu’à ce qu’il soit fier de moi, qu’à ce qu’il me félicite, qu’à ce qu’il m’aime.

Alors je faisais tout pour lui. Je me dépensais sans compter, que ce soit à l’école, devenant ainsi parmi les meilleurs de la classe, que ce soit dans mes entraînements au chant, à la musique et à la danse, répétant sans arrêt les même paroles, les mêmes notes, les mêmes mouvements, ou sur scène où je me donnais totalement en spectacle.

Et je faisais tout ce qu’il me demandait. Lorsqu’il me proposa, pour la première fois, de goûter un verre d’alcool, je ne refusais pas, alors même que je n’étais qu’un enfant, et les fois suivantes je me vis toujours servir un verre d’alcool ou plus. Lorsqu’il me proposa, toujours avec son éclatant sourire qui me faisait sembler que c’était parfaitement normal, de consommer de la drogue, j’acceptais encore. Lorsqu’il me fit des attouchements sexuels, là encore je ne voyais pas le mal. Et ma première fois, je la lui donnait volontiers, ainsi que les fois suivantes.

Alcool, sexe, drogue. Je n’étais même pas encore âgé de quinze ans que j’étais déjà pleinement dedans sans que ça ne me choque de quelque manière que ce soit. L’homme que j’aimais me le proposait, il avait ma confiance, alors où en était le mal ? Pourquoi j’aurais dû refuser ? Il me guidait, me fournissait et surtout me disait de n’en parler à personne. Et je n’en parlais à personne.

Car bien entendu, je n’étais pas son seul protégé, mais j’étais le plus jeune et je m’entendais bien avec les autres, si bien que j’aurais pu le leur dire au détour d’une conversation sans y prêter attention. Je m’entendais vraiment bien avec tout le monde. J’étais devenu un peu comme une mascotte au sein de ces artistes qui étaient un ma nouvelle famille.

Ils m’aiment et je les aimaient. Ils m’aidaient, travaillaient avec moi pour la carrière ou pour les cours, me donnaient des conseils, étaient mes confidents, comme mes frères et sœurs. Et grâce à eux, je n’étais pas en mal de succès auprès du public. Au contraire, je devenais connu.

Mais au fur et à mesure que ma popularité croissait, mon producteur devenait d’autant plus possessif à mon égard. D’abord, je ne pouvais plus rester avec mes collègues sans sa surveillance. Lorsqu’il devait aller quelque part, il m’emmenait toujours avec lui. Puis il me fit arrêter l’école, ne supportant pas que je sois trop longtemps hors de sa vue et avec d’autres personnes. Enfin, je restais enfermé seul ou avec lui, n’ayant le droit de sortir que pour aller travailler, jamais sans sa supervision bien sûr. Je n’avais que quinze ans et si ça me paraissait un minimum étrange, je m’y accommodais, m’enfonçant encore plus dans les vices qui m’avaient été donnés.

Et ce sont probablement ces vices qui plombèrent ma carrière. Ne sortant plus de mes quartiers, je travaillais de moins en moins et inévitablement, ma carrière et ma popularité déclinèrent, me faisant plonger davantage dans la drogue et l’alcool, tel un cercle vicieux. Puis tout s’arrêta. Une overdose et ce fut l’hôpital. J’avais tout juste dix-huit ans et on découvrit, dans l’unité de soin, mon origine, ma véritable identité, mon enlèvement.

Je clamais ne pas avoir été enlevé, avoir été chez mon producteur de mon plein gré, mais on ne m’écoutait pas. Encore une fois, on ne m’écoutait pas. Il fut arrêté et emprisonné pour enlèvement, pédophilie, abus de confiance et d’autres choses peu appréciables. Depuis je ne l’ai plus jamais revu et je fus rendu à mes parents. Parents qui étaient des étrangers pour moi. Cependant, ils me semblaient être beaucoup plus gentils à mon égard qu’ils ne l’avaient été dans mes souvenirs.

Et pour devenir encore plus des étrangers, ils m’envoyèrent dans un établissement pour une cure de désintoxication. J’y suis resté deux ans, parmi les drogués de tout poil que je ne supportais pas de côtoyer. Ce ne sont pas les meilleurs souvenirs de ma vie mais ce lieu eu au moins pour avantage de me défaire de mes vices.

Une fois sorti, ma vie me mena aux États-Unis. J’avais pour obsession de vouloir relancer ma carrière. Les États-Unis avaient pour consonance la gloire, le succès, et surtout, la mondialisation. Avoir une carrière là-bas permet plus sûrement d’avoir une carrière internationale qu’au Japon. J’ai fait de nombreuses agences de talent avec mon anglais tout approximatif, me faisant refuser plus que de raison mais persistant malgré tout. N’ayant pas la joie d’avoir un lieu où me reposer je vivais sous les ponts et mangeait dans les poubelles, faute d’avoir un soutien financier pour mon projet.

Au bout de quelques temps, je fini par trouver quelqu’un qui s’intéressait à mon talent. L’ambiance dans cette agence n’était pas la même que celle dont j’étais habitué au Japon. Rares étaient ceux à être vraiment gentils, il y avait de la compétition partout. Les autres me voyaient comme une menace pour leur carrière et en retour, je les voyais également comme tel. D’autant plus que ma carrière n’a jamais atteint, en Amérique, l’envergure qu’elle avait atteint au Japon.

Lorsque je voyais les autres avoir plus de succès que moi, il n’en fallut pas davantage pour que la jalousie s’installe. Alors je me suis rapproché de mes collègues plus jeunes, parfois même mineurs. Je leur donnais des conseils, tantôt me voulant bienveillant, tantôt ayant l’intention de saborder leurs prestations. Et finalement, j’abusais d’eux. Mais les États-Unis ne sont pas le Japon. Ce qui, dans mon pays natal, aurait pu ne jamais être découvert, ne restait ici jamais trop longtemps sous silence.

Peut-être dois-je m’estimer heureux qu’il ait fallu un an pour que je me fasse agresser par le père d’une de mes victimes. Je fus battu et tailladé, ne rendant aucun coup reçu, ceux-ci marquant ma peau à vie. À quoi bon ? Ensuite je fus jeté en pâture à la police et aux médias. Et me voilà donc à raconter mon histoire.

Mais elle ne s’arrête pas là, il y  a encore après cet interrogatoire.

La sentence tomba : 6 ans de prison. On n’échappe jamais à la justice, même lorsqu’on ne la craint pas. La prison. Ô Enfer sur Terre. J’y ai apprit que les gens n’aiment pas qu’on touche aux enfants, à grand renfort de coups. Plusieurs fois j’ai frôlé la mort mais j’en ai toujours heureusement été épargné. Heureusement ? Ou malheureusement ?

Lorsque j’en suis sorti, j’avais 28 ans et je suis immédiatement retourné au Japon. Je suis retourné auprès de mes parents faute d’avoir autre chose à faire. Leur bienveillance passée n’existait plus. Ils étaient gentils, certes, mais mon séjour en prison semblait avoir cassé quelque chose dans notre maigre relation.

Vivant chez mes parents, je n’ai pas pour autant abandonné mon indépendance. Premier pas pour retrouver une vie correcte, avoir un travail. Je n’avais pas de qualification, n’ayant pas eu d’études supérieures, alors j’ai été obligé de trouver un petit boulot, bien loin de ma profession de cœur ou même de celle que mes parents voulaient me donner. Heureusement, les échos de mes exactions passées n’ont pas traversé l’océan, ne me pénalisant pas dans ma quête d’une nouvelle vie.

Rapidement, j’ai emménagé dans un petit appartement, seul. Je me suis également fait tatoué au-dessus de la cicatrice la plus visible, celle sur ma joue. Je me suis également fait percé la lèvre et ait acquis une chaîne que j’ai utilisé pour relier ce piercing et un piercing déjà existant à l’oreille.

Cette chaîne est à mes yeux comme un signe de repentir pour mes actions passées, un réconfort aussi, car étrangement, c’est derrière les barreaux de ma petite cellule que je me suis senti le mieux, le plus calme, le plus apaisé.
Malgré tout, j’aspirais à un meilleur emploi et je postulais à différents postes sans recevoir de réponses positives. Jusqu’à-ce qu’on m’accepte pour un poste de professeur d’anglais dans la prestigieuse école de Saotome. Cette école, je rêvais de l’intégrer. Certes non pas comme professeur mais comme élève, opportunité qui ne m’a jamais été donnée.

Néanmoins, c’était une grande chance, une possibilité pour moi de mettre mon empreinte dans le monde de la musique sans pour autant être sur scène ou même directement dans l’emploi. Donner le savoir aux artistes de demain dans l’espoir qu’ils fassent de la meilleure musique que ce qui se fait actuellement. Ou du moins, qu’ils le fassent avec un meilleur anglais.

Je n’avais que 29 ans et je savais que c’était un privilège exceptionnel de pouvoir enseigner dans cet établissement prestigieux. J’étais conscient que ce devait être mes huit ans « d’expérience » aux États-Unis ainsi que mon expérience dans la musique qui avait pesé dans la balance. Je ne devais pas faire de bêtises.

Et je n’en ai pas fait ! Pendant plusieurs mois j’ai été un professeur exemplaire, aidant mes élèves du mieux. Mais un jour, j’ai craqué, mes vieux démons remontant à la surface. Un de mes élèves qui m’appréciait bien, et que j’appréciais également, me demandait des conseils. Mon expérience en tant qu’idole n’étais pas tombée dans l’oreille d’un sourd et beaucoup d’élèves avait apprit mon parcours.

J’ai essayé d’être honnête, de faire ce que je pouvais pour l’aider, mais ma jalousie l’a emporté et j’ai fini par lui donner de mauvaises indications, des choses qui, mises les unes avec les autres, finirent par faire chuter son début de carrière prometteur. Mais j’étais désolé. Véritablement désolé. Je me haïssais pour ça, d’autant plus que mon élève était devenu mon amant.

J’ai eu de nombreux scrupules quant à mes exactions. J’appréciais beaucoup mon amant, ça aurait presque pu être de l’amour. Lui causer des problèmes, le voir se faire du soucis pour sa carrière que j’avais fait décliné me faisait du mal. Mais je ne pouvais pas m’en empêcher. Ça me minait. Mais il continuait de me demander des conseils. Et pas que lui ! D’autres venaient me voir et je réitérais l’expérience avec eux, entretenant bientôt plusieurs relations avec mes élèves.

Mais à Saotome, un élève n’a pas le droit d’entretenir une relation avec un professeur. Lorsque l’on a apprit ce travers, je n’ai pas tardé à être viré, après trois ans de travail, de bon et loyaux services au sein de l’école. Mes exactions qui font de moi un petit diable n’ont, par contre, pas été remarquées. Je n’ai eu aucun problème sur le fait d’avoir abîmé la carrière de mes élèves.

La suite m’a paru évidente à ce moment. Avec mon salaire de ces trois dernières années, j’ai eu l’occasion de m’offrir une petite maison. Celle-ci, je l’ai transformé an agence de production, une fois licencié. Une agence de production, oui. Je me suis improvisé producteur et ait eu l’occasion de repérer mes talents au sein de l’académie que je venais de quitter.
Mais pour pouvoir embaucher des élèves, il me fallait l’autorisation de l’académie. Celle-ci ne fut pas difficile à obtenir. À part mes petits travers, ils n’avaient rien à me reprocher et pensaient que je pouvais, en effet, faire un bon producteur avec mon expérience.

Et je le suis effectivement. Je suis parvenu à faire décoller plusieurs carrières musicales. Des idoles ou simplement des musiciens. Je cherche le talent là où je peux le trouver. Le seul petit problème c’est que… Mes idoles ont tendance à voir leur carrière dépérir un peu trop rapidement ? Les compositeurs, eux, n’ont pas le moindre problème, cependant. Allez savoir pourquoi !
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PSEUDO : Thyerus
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PERSONNAGE SUR L'AVATAR : Daisuke Anayama — Shinobu, Koi Utsutsu
COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM : Ça fait quelques temps que je le fréquent. Plus qu'un compositeur et j'aurais un personnage de chaque groupe !
AUTRES : Je vous aime !
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MessageSujet: Re: Utaemon L. Nakamura ou celui qui vous rendra célèbre   Utaemon L. Nakamura ou celui qui vous rendra célèbre EmptyVen 16 Déc - 19:52

Saluuuuuuut !

Re-Bienvenue uh uh
Bonne chance pour ta validation
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Akemi Akihide
Akemi Akihide
Les notes de musique sont plus agréables qu'une conversation avec un humain

MESSAGES : 46

Le Musicien Timide

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MessageSujet: Re: Utaemon L. Nakamura ou celui qui vous rendra célèbre   Utaemon L. Nakamura ou celui qui vous rendra célèbre EmptyMer 21 Déc - 21:09

Rebienvenue mon amour <3 *bizouille son producteur timidement avant de fuir*

Bon courage pour ta validation <3
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http://amecontreame.forums-rpg.com/

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MessageSujet: Re: Utaemon L. Nakamura ou celui qui vous rendra célèbre   Utaemon L. Nakamura ou celui qui vous rendra célèbre EmptyMer 21 Déc - 21:47

Merci mes mignons ! ♥

*Kidnappe Kemi-chan.*
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Miho Asane
Miho Asane
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MESSAGES : 457

Mozart ? Évidemment que je connais ses dates !

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MessageSujet: Re: Utaemon L. Nakamura ou celui qui vous rendra célèbre   Utaemon L. Nakamura ou celui qui vous rendra célèbre EmptyJeu 22 Déc - 19:52

Re-Bienvenue o/
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Ren F. Jones
Ren F. Jones
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MESSAGES : 30

The dark shadow

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MessageSujet: Re: Utaemon L. Nakamura ou celui qui vous rendra célèbre   Utaemon L. Nakamura ou celui qui vous rendra célèbre EmptyLun 26 Déc - 17:09

Bonjour, et re-bienvenue sur le fofo (d'après ce que je lis) ^w^

J'ai lu ta fiche, et je n'y ai vu qu'une petite faute (d'étourderie certainement), mais qui fait un peu tache au milieu d'un texte aussi bien rédigé que le tien :
Citation :
Enfin peur, vous n'y parviendrait pas.

C'est "parviendrez" qui est correct. Du reste, ta fiche est d'une très bonne qualité, bien écrite et portant sur un personnage sombre mais qui promet d'être très chouette. Je ne vois rien de spécial à faire remarquer sur le fond ni sur la forme, c'est nickel =)

S'agissant à présent de la remarque que tu as faite sur le sujet de recensement, je me permets de te donner une explication. Déjà, nous sommes désolés de ce que le délai d'attente d'une semaine pour te faire modérer t'aies été aussi pénible. Cependant, comme tu le sais certainement, la période allant de fin décembre à début janvier est difficile et chargée pour les étudiants. De ce fait, c'est notre travail personnel qui passe avant tout le reste, forum compris.
En outre, une semaine n'est pas un délai d'attente qui est si long que cela, même si je comprends la hâte avec laquelle on désire jouer un nouveau personnage. Ça peut donc paraître long, je le conçois, mais dans les faits, pour tout ce qui touche à la modération, ça ne l'est pas.

A l'avenir, si quelque chose te tracasse ainsi, n'hésite pas à venir nous en parler par MP pour savoir ce qu'il se passe. C'est valable pour tous les autres joueurs qui tomberaient sur ces lignes : on ne va pas vous manger ou se fâcher si vous posez tranquillou votre question =)
Montrer des signes d'impatience ne fera pas aller votre affaire plus vite, au contraire : la seule chose qui sera rapide dans ce cas-là, c'est l'agacement du staffien auquel vous vous serez adressé.

Maintenant que c'est chose dite, n'en parlons plus =)
Et sur ce,
   
Tu es validé !

Tu peux désormais aller recenser ton avatar. Et maintenant que tu fais partit de la famille il te faut rp, pour cela passe une demande, et qui dit rp dit lien alors n'oublies pas de faire ta relationship. De plus il est important que tu fasses une demande de logement histoire d'avoir un toit où dormir ! N'oublies pas de faire un tour du côté des news pour être au courant de tout et bien sûr la zone flood t'ouvre ses bras, mais attention aux abus ;)
   Sur ce, bon rp sur le forum !
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